La pièce AD AETERNAM a été inspirée d'une blessure. Le corps blessé du danseur qui ne lui permet plus d'exercer son art. Un genou, qui ne lui permet plus ni mobilité ni soutien. Cette pièce cherche ainsi à dépeindre la résilience de l'artiste, qui, tel un besoin immuable et vital, pratiquera son art coût que coûte. Vêtu d'un simple drap orange qui symbolisera alors ses jambes, l'artiste retrouvera le chemin de la scène et de l'expression.

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La pièce, dans sa deuxième section, explore le caractère de l'homme en tant qu'animal social. Son besoin de contact, de se retrouver avec ses paires et le besoin de reconnaissance par ces derniers. 

D'un point de vue philosophique, l'existence d'un soi serait intrinsèquement liée à la perception que l'autre a de soi. Si l'on existe pas dans le regard de ses paires, on existe pas. La pièce cherche alors a étudier la puissance de ce lien qui se créé entre les êtres et l'influence qui en découle.